Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Epicure

5 mars 2005

Des anges. Les autres comme de simples images.

Des anges. Les autres comme de simples images. Ces personnages que l'on observe, que l on distingue dans notre sphere. Nous existons. Chacun d entre nous désire, estime, espere. L'espoir semble être l'apanage des serfs. Le désir, l'envie, pourtant simple réaction à l'évenement, distorsion du temps, du moment. Non l'absolu.

Dilemme existentiel.

La simplicité d'un échange, la beauté d'un regard, la fascination de l'instant où tout s'ouvre. Faut-il agir ou laisser.  Pourquoi ce poids, la conscience comme un leitmotive et cet inconscient qui nous epanoui. Liberons nous, profitons, comment sera demain ?. L'avenir semble concu mais qui le garanti ? La réflexion est une source de progrès. En fait, la réflexion nous apparait comme un constat à posteriori. Sans celle ci, le concret nous fait face et nous profitons instantanément.

Seul l'instant merite le plaisir. L'hésitation n'éxiste plus, chaque jour doit être du à ce principe. Des sentiments réels et étranges comme évitables et pourtant si présents. Mélange étonnant.

Ces moments qui existent, ces moments que l'on souhaitent, comme Epicure "le plaisir, conçu comme jouissance agréable et stable, repos qui implique l'absence de douleur ; cette affection constitue un principe de la vie heureuse".

L’espoir est à première vue un sentiment des plus positifs : il repose sur la confiance tout en encourageant à agir tandis que son contraire, le désespoir, renvoie plutôt au pessimisme et à la passivité. On voit mal dans ces conditions ce que l’on pourrait condamner dans l’attitude de celui qui espère.

Si l’espoir n’est pas en lui-même garant de sa moralité (et s’il existe même des espoirs immoraux), s’il s’impose à nous sans nous laisser la moindre liberté à son égard, et si enfin il repose sur l’ignorance et s’accompagne toujours de la crainte, s’ensuit-il que l’espoir est un sentiment “mauvais”, à ranger du côté des faiblesses humaines, voire des vices ou des péchés ?

Border-line mais si plaisant

A Emmanuelle

Publicité
Publicité
Publicité
Publicité